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Le premier ministre kazakh a rencontré, samedi 4 mars, des représentants du Boston Consulting Group. Aucun détail concernant un éventuel contrat n’a été dévoilé. Le service de presse du premier ministre a simplement précisé qu’il s’agissait de « définir un nouveau modèle de croissance économique ». Ce rendez-vous intervient alors que la présidence avait annoncé, fin janvier, un troisième plan de modernisation du pays.

Source : https://akipress.com

Alitalia a annoncé que son conseil d’administration devrait approuver un plan de restructuration d’ici la fin de semaine, après avoir validé les modifications apportées par Roland Berger. Une première version du plan, présentée par le patron de la compagnie et soutenue par l’actionnaire principal Etihad (49 %), avait été retoquée par les autres actionnaires UniCredit et Intesa Sanpaolo. Roland Berger avait alors été chargé de réaliser une « évaluation indépendante » du plan et d’y apporter des amendements. Les détails du plan restent inconnus, le patron d’Alitalia ayant tout de même précisé qu’il devrait permettre au moins 160 millions d’euros d’économie d’ici à la fin de l’année, et ce sans prendre en compte les coûts de main-d’œuvre. Sur ce point, la presse évoque une baisse des salaires et des centaines voire des milliers de suppressions de poste sur les 12 000 que compte la compagnie.

Source : www.nordlittoral.fr

Stéphane Blanchard est depuis le 1er mars senior partner d’Advancy au bureau de Paris. Au sein de la practice Consumer Goods, il sera notamment en charge de l’activité Private Equity.

Stéphane Blanchard, 47 ans, arrive de chez Roland Berger, qu’il avait intégré en décembre 2014 en tant qu’associé et où il intervenait principalement auprès de clients FMCG et Private Equity. Diplômé de l’ESCP (1998) et passé par le MBA d’Harvard (2011), Stéphane Blanchard a exercé pendant neuf ans chez Accenture. En 2007, il avait rejoint Deloitte pour diriger la practice Strategy Consulting avant de devenir l’un des partners de Monitor Deloitte à partir de 2013.

Pour Éric de Bettignies, président et associé fondateur du cabinet de conseil en stratégie, l’arrivée de Stéphane Blanchard, « renforce Advancy dans l’un de ses secteurs de prédilection au niveau mondial : le consumer goods et sa présence forte auprès des fonds de private equity est une synergie naturelle ».

Le nouveau patron d’A.T. Kearney pour l’Allemagne, l’Autriche et la Suisse (zone DACH), Martin Eisenhut, n’a pas attendu bien longtemps pour imprimer sa marque. À peine nommé – il a pris ses fonctions en janvier –, il a réuni les partners et principals du cabinet dans la zone pour tracer la route à venir. Il a d’abord fait un état des lieux peu reluisant de la situation. Certes, A.T. Kearney ne perd pas d’argent en zone DACH, mais sa croissance dans la région l’année dernière est restée sous la barre du « double digit » quand la plupart de ses concurrents annonçaient une croissance autour des 20 %. Martin Eisenhut en a déduit qu’A.T. Kearney fait « quelque chose mal » (« wir machen etwas falsch », en allemand).

Dans un second temps, Martin Eisenhut a annoncé la couleur. Désormais, le cabinet de conseil en stratégie sera, dans les pays germanophones, organisé en practices sectorielles pour être plus proche des clients. Il en résulte la création de nouveaux postes de leader. Dans le même temps, d’autres fonctions de direction sautent, puisque les practices transversales disparaissent dans la zone DACH. Cette réorganisation devrait en laisser quelques-uns sur le carreau. Première victime, Götz Klink, l’actuel patron de la practice Automotive pour l’Europe, qui a d’ores et déjà annoncé son départ du cabinet au cours du deuxième trimestre.

Au-delà des changements organisationnels, Martin Eisenhut entend également changer en partie le métier même d’A.T. Kearney dans la région. Le cabinet devrait élargir son champ d’action en investissant dans les prochains mois le marché du restructuring et du turn-around. Une entreprise indépendante, A.T. Kearney Restructuring Services GmbH, a été créée pour conseiller les clients. Cette nouvelle initiative, limitée pour l’instant au bureau de Düsseldorf, devrait être étendue à d’autres pays si elle fonctionne.

Enfin, le nouveau patron va s’en prendre aux bureaux. Il estime qu’il y a trop de places inoccupées et va réduire la voilure. Ainsi, le bureau de Francfort a déjà été fermé, celui de Stuttgart devrait suivre bientôt. Les autres bureaux seront transformés en « regional hubs » auxquels viendront s’ajouter des bureaux temporaires en fonction des missions, bureaux qui pourront être hébergés par les clients eux-mêmes.

Source : Manager Magazin

Le chief information officer (CIO) du Boston Consulting Group, Robbert Kuppens, a une vision originale des services IT, une vision qu’il met en œuvre chez son employeur. Dans une interview avec CIO.com, il explique comment les informaticiens doivent s'inspirer du phénomène « as-a-service ». L’objectif est de fournir le bon matériel ou la bonne application à la bonne personne, selon ses besoins ou la faisabilité. Pour basculer vers un modèle de « IT-as-a-service », Robbert Kuppens estime que son métier doit s’inspirer de l’industrie où l’on connaît le prix de chaque étape de fabrication et de chaque composant, mais également le prix total d’un produit. Toutefois le plus important, c’est de changer les mentalités. Lorsqu’il a pris ses fonctions au BCG, d’après son propre aveu, Robbert Kuppens n’a pas seulement revu l’organisation de son service, il a aussi bousculé l’état d’esprit de ses équipes. Il leur a annoncé que leur « fiche de poste allait changer. Au lieu d’être le fournisseur d’ordinateur, [ils devenaient] des fournisseurs de service ».

Le mois dernier, le Boston Consulting Group emménageait dans de nouveaux bureaux à New York (États-Unis), des locaux pour le moins originaux.

Les équipes du BCG sont parties du principe que tout le monde ne pouvait pas se retrouver dans un seul et même environnement. C’est pourquoi elles ont créé différents espaces et types de bureaux, afin que chaque consultant puisse y trouver son bonheur. Selon le travail à accomplir, l’état d’esprit de la personne ou peut-être même le sens du vent, les consultants réservent un espace. Une application dédiée a été développée afin de faciliter la réservation.

Les différents espaces alternent les formes, la taille, mais aussi les couleurs. Le point commun à chacun, c’est que le BCG a toujours cherché à favoriser ce qu’il estime comme les clés d’un travail effectif, à savoir « l’acoustique, la lumière, la qualité de l’air, le café et la disponibilité de la nourriture ». Sur ces deux derniers points, le cabinet n’a pas lésiné. Un High Line Café offre aux équipes des petits-déjeuners et déjeuners gratuits, « afin de favoriser les interactions sociales ».

Source : www.managers.org.uk

ServiceNow, entreprise américaine spécialiste du cloud, a annoncé mardi 28 février la nomination de John Donahoe au poste de président et CEO. John Donahoe était depuis 2008 le CEO d’eBay, mais reste surtout connu dans le milieu du conseil pour avoir dirigé un temps Bain & Company.

Formé à Stanford (1986), il avait débuté sa carrière chez Bain avant d’accéder en 1999 aux fonctions suprêmes en prenant la présidence du cabinet. Il avait renoncé à son mandat en 2005, en même temps qu’il quittait Bain, pour rejoindre eBay, dont il allait devenir en 2008 le CEO.

La nomination de John Donahoe chez ServiceNow sera effective le 3 avril 2017, d’après le communiqué de presse de l’entreprise.

Source : www.theregister.co.uk

Le think tank Transnational Institute, basé à Amsterdam, dénonce dans un rapport, repéré par L'Écho Belge mercredi 22 février, ce qu’il qualifie de « coût caché du sauvetage des banques » et s’en prend aux cabinets de conseil. L’institut estime que les sociétés de consulting sont « récompensées » par des contrats alors même qu’elles portent une part de responsabilité dans la crise financière.

Les premiers visés sont les Big Four, à la fois réviseurs et consultants. Le conseil en stratégie n’est pas épargné pour autant. Oliver Wyman, très impliqué dans la politique de sauvetage des banques européennes, est cité en exemple des erreurs dénoncées par le think tank. Le cabinet a été embauché par la Banque centrale européenne pour réaliser les stress tests des banques de la zone euro. Pourtant, rappelle le rapport, le cabinet avait commis quelques erreurs de jugement par le passé. Il avait notamment qualifié AIB de « meilleure banque du monde », « trois ans avant qu’elle ait dû être nationalisée et qu’elle ait failli provoquer la faillite de son pays hôte ».

Transnational Institute, en extrapolant les données collectées en Grèce, estime que les missions de conseil post-crise financière ont rapporté autour de 400 millions d’euros aux acteurs du conseil.

La Cour des comptes portugaise a validé un certain nombre de contrats passés entre la Caixa Geral de Depositos (CGD) et des entreprises prestataires, parmi lesquelles McKinsey. Une enquête avait été ouverte après que l’ancien dirigeant de la CGD avait approuvé un certain nombre de contrats de prestation alors qu’il était déjà sur le départ. Deux cabinets d’avocats ainsi que McKinsey avaient été embauchés pour accompagner la banque dans ses réformes et ses négociations avec les instances européennes.

L’ouverture de l’enquête avait fait craindre, un temps, à une annulation des contrats pour vice de forme, ceux-ci n’ayant pas fait l’objet d’un contrôle par la Cour des comptes. Cette dernière a finalement conclu qu’aucun vice de forme n’entache les procédures, chacun des contrats valant moins de cinq millions d’euros, le montant plancher à partir duquel un contrôle préalable de la Cour des comptes est nécessaire.

Source : www.jornaleconomico.sapo.pt

Charles-Édouard Bouée a déconseillé, lors d’un entretien avec The Independent, d’investir en Grande-Bretagne pour le moment. Le CEO de Roland Berger estime que l’après-Brexit est trop incertain pour qu’une entreprise se risque à d’importants investissements outre-Manche pour l’instant. Le consultant en stratégie conseille plutôt de s’appuyer sur un partenaire local, afin de pouvoir se retirer facilement du pays le cas échéant.

En cette période de début d’année, traditionnellement chargée sur le plan des mobilités d’une entreprise à l’autre, AlixPartners a marqué un grand coup en Allemagne. Le cabinet a annoncé, fin janvier, l’arrivée dans ses équipes de Munich d’un ancien membre du board mondial de Roland Berger, Bernd Brunke.

Bernd Brunke était depuis 2014 SVP chez HypoVereinsbank-UniCredit Bank AG. C’est surtout un « historique » de Roland Berger, où il a fait la presque totalité de sa carrière. Entré au sein du cabinet en 1995, il avait grimpé les échelons jusqu’à être membre du comité exécutif mondial de Roland Berger de 2010 à 2014.

Source : https://article.wn.com

PMP a officialisé en février la promotion de François Cousi au grade d’associé. François Cousi, 45 ans et diplômé d’HEC (1996), est entré au service de PMP en 2010. Auparavant, il avait occupé des fonctions managériales dans le retail, notamment au sein de l’ex-groupe PPR (désormais Kering) et avait géré d’importants projets de transformation à la FNAC ou chez Surcouf. Entre 2009 et 2010, il avait participé au lancement de la chaîne Bio C’Bon au poste de COO.

Depuis son arrivée chez PMP, il a développé la practice stratégie digitale et e-commerce, activité qu’il dirige aujourd’hui. Cette nomination s'inscrit dans une 'dynamique de développement accéléré du cabinet' autour 'des enjeux clés du digital'.

C’est McKinsey qui a été choisi par la Airports Authority of India (AAI) pour restructurer l’aéroport de Calcutta (Inde). C’est une double bonne nouvelle puisque cette mission déjà importante pourra, en cas de succès, en appeler de nombreuses autres et le modèle de McKinsey serait alors implanté dans l’ensemble des aéroports gérés par l’AAI.

McKinsey sera chargé de réorganiser la force de travail de l’aéroport de Calcutta. Le cabinet doit améliorer le fonctionnement de l’aéroport et l’efficacité de son organisation. L’AAI a précisé que, pour l’instant, la privatisation de l’aéroport n’est pas à l’ordre du jour. En revanche, il est tout à fait possible qu’elle soit envisagée dans un second temps ou qu’elle fasse partie d’un agenda caché. Par le passé, l’AAI avait déjà cherché à deux reprises à trouver un repreneur, deux projets qui avaient dû être abandonnés face à la fronde des salariés.

Source : https://timesofindia.indiatimes.com

Le Boston Consulting Group a officialisé, lundi 13 février, l'arrivée de François-Xavier Delenclos au sein de la practice Principal Investors & Private Equity (PIPE). Il sera basé à Londres mais interviendra sur des projets pan-européens.

François-Xavier Delenclos, diplômé d'un IEP (1999) et d'un master de l'ESSEC (2001), travaillait depuis 2008 chez APM Terminals, filiale de Maersk à La Haye (Pays-Bas) en tant que VP corporate strategy and business development. Avant cela, il avait travaillé pour McKinsey à Paris puis Hong-Kong entre 2001 et 2008.

Bain & Company a noué un partenariat avec le Canadien Kinaxis, éditeur de solutions supply chain. Annoncé jeudi 9 février, l’accord permettra à Bain d’offrir à ses clients la solution RapidResponse, un ERP destiné à regrouper en un seul outil, via le Cloud, l’ensemble des informations liées à la supply chain au sein d’une entreprise.

Source : www.kinaxis.com

McKinsey va devoir faire une croix sur le très juteux contrat qu’il avait signé avec Kenya Airways. Pendant dix mois, l’Américain a fourni à son client une équipe qui a travaillé exclusivement pour lui. Dix mois pendant lesquels McKinsey aura empoché plus de 20 millions d’euros (2,3 milliards de shillings kényans).

D’après le contrat de départ, cette manne financière n’aurait pas dû s’arrêter si tôt, l’accord initial étant signé pour une période de deux ans. Mais face aux critiques soulevées dans la presse par de telles dépenses, alors que la compagnie aérienne connaît de lourdes pertes, Kenya Airways a finalement décidé de renégocier l’accord. McKinsey n’est pas renvoyé, mais le client ne fera désormais appel au cabinet qu’au cas par cas et de façon temporaire et se sépare donc de sa task force dédiée.

Source : www.standardmedia.co.ke

L’application de discussion instantanée Viber, propriété du groupe Rakuten, a un nouveau patron, et il s’agit du Français Djamel Agaoua, 47 ans. Multi-entrepreneur, Djamel Agaoua est surtout un ancien du conseil en stratégie. Ce centralien (1992) a travaillé quatre ans pour Bain & Company à Paris et Londres (1992-1996) puis trois ans pour Roland Berger à Paris et Sao Paulo (1996-1999). Dans l’article qui lui est consacré par IsraelValley.com, l’ancien consultant se souvient surtout de son passage chez Bain où, d’après lui, « à l’époque, on parlait toute la journée de Bill Gates et de la façon de monter des boîtes ».

Source : www.israelvalley.com

Elixir, cabinet de conseil généraliste saoudien, a annoncé jeudi 9 février son rapprochement avec McKinsey. Le cabinet, créé il y a douze ans, intervient en Arabie Saoudite sur des questions de stratégie, d’organisation et de transformation. Il emploie actuellement 140 personnes installées à Djeddah et Riyad.

D’après le communiqué de presse, l’opération n’est pas encore finalisée, mais devrait l’être « bientôt », après quelques formalités légales et administratives. Les deux fondateurs et co-CEO d’Elixir resteront à la tête du cabinet, qui intègre McKinsey comme une filiale de ce dernier. Elixir devrait travailler de façon indépendante et garder sa propre marque.

Le Boston Consulting Group continue sa collaboration avec la Ligue de football professionnel (LFP), malgré une première mission qui avait fait grincer des dents. Les adhérents de la LFP avaient mal digéré l’audit lancé fin 2016 par Nathalie Boy de la Tour, alors tout juste élue présidente.

Cette grogne n’a pas fait trembler la dirigeante, qui a fait à nouveau appel aux services du cabinet de conseil en stratégie. Les représentants des clubs de football professionnels étaient réunis jeudi 9 février à Paris pour un séminaire durant lequel ils ont pu rencontrer des partners du BCG, chargés de définir le plan stratégique du football français à l’horizon 2020. Ce premier séminaire doit en appeler d’autres, les dirigeants de clubs devraient ainsi rencontrer les consultants fin février.

McKinsey a annoncé, jeudi 2 février, une série de nominations et de recrutements au sein de son entité française.

Le cabinet fait part en premier lieu de la promotion de deux partners, Clarisse Magnin-Mallez et Matteo Pacca, au grade de directeur associé senior. Clarisse Magnin-Mallez (40 ans – HEC 2000) a fait l’ensemble de sa carrière chez McKinsey en France et aux États-Unis. Elle dirige la practice française Biens de grande consommation, distribution, et luxe. Matteo Pacca (45 ans – Politecnico di Milano 1995) a intégré McKinsey en 2005. Il dirige le pôle Digital du cabinet.

Paul Welti (40 ans) est lui promu partner. Diplômé de Polytechnique (2000) et Télécom ParisTech (2002), il a été recruté par McKinsey en 2008 en provenance de Safran Morpho (ex-Sagem). Paul Welti est l’un des leaders du pôle Digital de McKinsey en France.

McKinsey France hérite d’un autre partner, cette fois en provenance des États-Unis. Matthew Smith (33 ans – Harvard 2005) est une des valeurs montantes du cabinet au niveau mondial. Entré au bureau de New Jersey dès 2005, il avait rejoint les équipes de Washington D.C. en 2007. De 2012 à 2014, il a dirigé le pôle de compétences Organisation dans l’industrie pharmaceutique au niveau global. Depuis 2014, il coordonnait, sous la responsabilité directe de Dominic Barton (DG monde), la stratégie de développement du cabinet.

En plus de ces promotions internes, McKinsey annonce deux recrutements externes. David Muhlmann (42 ans) rejoint la practice Organisation en tant que senior expert. Docteur en sociologie des organisations (Sciences Po Paris 2003), il dirigeait jusqu’à présent le centre d’expertise « Organization & Strategic Workforce Planning » de Korn Ferry en France après un début de carrière dans le conseil chez IBM, Schlumberger et CapGemini.

Enfin, McKinsey renforce son activité RTS avec le recrutement de Vincenzo Picone (44 ans) au grade de partner. Spécialiste de la Private Equity, il a notamment été EVP chez Bain Capital à Londres de 2012 à 2015. Il avait déjà fait un passage par McKinsey, de 1998 à 2001, au sein des équipes londoniennes du cabinet.