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Advancy à la conquête de l’Ouest
Monde
30/09/24

Il fait partie des neuf bureaux du cabinet Advancy. Le bureau de New York, ouvert tout juste 20 ans après la création du cabinet, compte aujourd’hui une quarantaine de consultants, dont trois Français, selon le décompte de Consultor.

Advancy à la conquête de l’Ouest
Les pays du Golfe, nouvel Eldorado du consulting ?
Monde
10/07/24

À l’heure des grands programmes de développement « Visions », lancés successivement par les pays du Golfe pour préparer l’après-pétrole, la demande de consultants en stratégie occidentaux semble florissante. Qui sont-ils ? Que viennent-ils chercher dans la région ? Quelle place occupent ces expériences dans leurs CV ? Quelques éléments de réponse.

Les pays du Golfe, nouvel Eldorado du consulting ?

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  • La CDC dévoile sa sélection de consultants en stratégie
    Monde
    21/11/16

    La Caisse des Dépôts et Consignations (CDC) a publié au BOAMP début octobre le résultat de sa consultation lancée en février dernier sur des prestations de conseil et d'études stratégiques. Elle communique ainsi la liste des prestataires sélectionnés sur chacun des treize lots. Les équipes de la CDC pourront, le moment venu, piocher dans cette liste pour être accompagnées sur les divers sujets dans la limite des budgets prévus. Au total, la CDC prévoit une enveloppe de 21 millions d’euros de prestations sur les 24 prochains mois.

    Exception faite des équipes conseil des Big Four, bien positionnés sur les différents lots, les cabinets de conseil suivants tirent leur épingle du jeu :

    • PMP Conseil, qui reste en lice pour trois lots différents d'une valeur totale de 11 M€
    • McKinsey (et sa filiale Orphoz), Roland Berger, le BCG et Oliver Wyman sont présents sur deux lots chacun.
    • D’autres cabinets ont pu se positionner sur un lot parmi lesquels A.T. Kearney, Vertone et Chappuis Halder.

    Un grand absent, Bain & Company, qui n'a été retenu sur aucun lot. 

  • Paris accueille la finale du Global Prize 2016 d’A.T. Kearney
    Monde
    18/11/16

    Le bureau parisien d’A.T. Kearney accueille ce vendredi 18 novembre la finale européenne du Global Prize 2016. Pour la vingtième année consécutive, le cabinet organise un concours de résolution de cas entre les meilleurs MBA américains et européens.

    Neuf écoles participent à la compétition : HEC, INSEAD, LBS et Bocconi du côté du Vieux Continent ; Booth, Columbia, Kellog, Ross et Rotman pour le Nouveau Monde. Chaque zone géographique fera sa finale de son côté. En fin de journée, l’équipe qui aura décroché le titre européen pourra défendre sa place par vidéo face à l’équipe américaine finaliste. Au final, Le Global Prize 2016 reviendra aux étudiants ayant apporté « avec le plus de passion et de conviction la proposition la plus innovante ».

  • Un très gros contrat en perspective chez Air India
    Monde
    16/11/16

    Air India fera bientôt le bonheur d’un cabinet de conseil en stratégie. La compagnie a d’ores et déjà annoncé sa volonté de faire appel aux services d’un cabinet pour élaborer sa stratégie à court et long terme. Pour la première fois depuis 2007 et la fusion avec Indian Airlines, la compagnie aérienne a déclaré, pour l’année fiscale 2015-2016, un profit opérationnel. Celui-ci s’élève à un peu plus de 13,6 millions d’euros (1,05 milliard de roupies).

    Pourtant, la compagnie n’est pas encore profitable et compte sur le cabinet en stratégie pour l’aider à le devenir d’ici à mars 2019, bien avant la date butoir initialement prévue pour 2021-2022. Le cabinet devra également aider la compagnie à étoffer son parc aérien. Air India possède actuellement, avec ses filiales, 130 appareils. Elle souhaite en acheter 100 de plus au cours des quatre prochaines années. De belles perspectives qui laissent entrevoir un contrat faramineux pour un cabinet de conseil en stratégie. L’avenir nous dira lequel.

    Source : The Indian Express


  • Un ex partner du BCG dans l’équipe de Donald Trump
    Monde
    15/11/16

    Le président américain élu, Donald Trump, travaille actuellement à sa prise de fonction, prévue le 20 janvier prochain. À cette fin, il a créé une équipe de transition, chargée notamment de constituer le gouvernement qui dirigera les États-Unis pour les quatre prochaines années. Au sein de cette équipe de transition, Ron Nicol, jusqu’alors senior advisor du Boston Consulting Group, a une place de choix. Il est le directeur de la Current Agency Action Team, la fameuse équipe de transition. Il chapeautera six directeurs et autant de sujets : la défense, la sécurité intérieure (« national security »), les questions économiques, les questions domestiques (« domestic issues »), le budget et la « Agency Transform. & Innovation ».

    Ron Nicol est un pur produit du BCG. Entré en 1982 au sein du cabinet, il en est devenu l’un des partners les plus influents, membre notamment de son comité exécutif mondial. Il a, au cours de sa longue carrière, dirigé différentes practices au niveau mondial (organization ; technology, media & telecommunication). Ron Nicol a également dirigé les activités du cabinet pour les États-Unis. Il a par ailleurs été président du board pour l’Amérique du Nord et du Sud. Basé à Dallas, Ron Nicol est depuis 2012 responsable du BCG pour le sud des États-Unis (bureaux de Dallas, Houston, Atlanta et Miami).

    Source : CNBC

  • Jay Alix rachète les parts de CVC dans AlixPartners
    Monde
    14/11/16

    Un groupe d'investisseurs dirigé par Jay Alix, le fondateur du cabinet, et composé de trois grands investisseurs mondaux, a convenu d'acquérir une participation dans l'entreprise auprès de CVC. La nouvelle structure d'actionnariat réunit la Caisse de dépôt et placement du Québec, l'Office d'investissement des régimes de pensions du secteur public et Investcorp Group, conjointement avec le fondateur et actionnaire actuel, Jay Alix.

    Les détails de la transaction n'ont pas été dévoilés. On sait toutefois que les « Managing Directors » du cabinet, équivalent des « partners » dans d'autres structures, conserveront « une part significative » du capital avec un nouveau système d'equity.

    D'après CVC Capital Partners, AlixPartners a été valorisé à hauteur de 2,5 milliards de dollars lors de cette opération, contre 1 milliard de dollars en 2012. Pendant cette période, AlixPartners a élargi son offre de services et a vu ses effectifs passer de 950 à 1600 employés à travers le monde.

    Source : Crain's Detroit Business


  • Le modèle américain de McKinsey passe mal en Corée du Sud
    Monde
    10/11/16

    La presse sud-coréenne, et plus particulièrement le Korea Times, a décidément une dent contre McKinsey. En août dernier, comme nous vous le relations, le quotidien s’en était pris vertement au cabinet américain. Il l’accusait d’avoir mal conseillé ses clients comme LG et Samsung. Ce mois-ci, le même journal et le même journaliste reviennent à la charge concernant une nouvelle mission, alors que celle-ci a à peine commencé.

    McKinsey a été embauché par le conglomérat Lotte Group pour diminuer la taille et le coût de ses services centraux, une tendance que connaissent de nombreux acteurs économiques. Mais cette tendance n’est pas du goût du Korea Times qui ressort les mêmes arguments qu’en août. Il rappelle notamment les conseils de McKinsey à Samsung Life Insurance dans les années quatre-vingt-dix. Le client avait, sur ses recommandations, diminué de moitié la taille de sa force de vente avant de devoir faire machine arrière. L’exemple sert les propos du journaliste qui, par l’intermédiaire d’une source anonyme, fait dire que « McKinsey applique un modèle américain qui ne marche pas en Corée du Sud ». Le nouvel article n’en dit pas beaucoup plus et surtout ne détaille pas la nouvelle mission, ni n’explique pas pourquoi les idées de McKinsey pourraient être mauvaises en l’occurrence. Alors, cabale ou scepticisme justifié, à vous de juger. Chez Consultor, nous nous contenterons de conclure que les relations entre les RP de McKinsey et le journaliste du Korea Times ne doivent pas être au beau fixe.

     

  • OPnGO s’offre un ancien Oliver Wyman
    Monde
    09/11/16

    La toute nouvelle application de stationnement OPnGO, lancée en juin 2016, a frappé un grand coup sur le marché des talents en débauchant le managing director de Groupon en France, Cyril Jessua. Le très jeune patron de 34 ans, diplômé de l’ESSEC en 2007, est également un ancien d’Oliver Wyman. Il est en effet passé par le cabinet en 2008. Toutefois, il n’y sera resté que huit mois, à une époque où le cabinet n’était pas au mieux. Impossible donc de dire s’il garde un bon souvenir de son passage chez Oliver Wyman

  • Le BCG accusé de se payer sur le dos des militaires américains
    Monde
    08/11/16

    Le Boston Consulting Group fait l’objet de critiques violentes de la part d’entreprises américaines dans la gestion qu’il fait de sa mission auprès de la Defense Commissary Agency (DeCA). Cette centrale d’achat et réseau de distribution permet aux militaires américains et à leurs familles de bénéficier de produits seulement 5 % au-dessus de leur coût de revient.

    Le cabinet est accusé d’agir dans son propre intérêt plutôt que dans celui des consommateurs, les sacro-saints vétérans de l’armée. En 2015, le BCG était engagé par DeCA pour étudier son système de prix et d’approvisionnement, une mission alors rémunérée 1,5 million de dollars. Cette année, DeCA a confié au cabinet de conseil en stratégie la suite de cette mission, à savoir la mise en œuvre des recommandations. Sauf que cette fois, une partie de la mission sera rémunérée en pourcentage des économies réalisées. Le BCG doit en effet couper à hauteur de 1,3 milliard dans les coûts d’approvisionnement de son client et pour cela gérer les négociations avec les entreprises prestataires. Et c’est là que le bât blesse. Le représentant des fournisseurs, le président de la American Logistics Association, accuse le BCG de ne pas être impartial dans la tenue des négociations. Pour lui, cela signifie que les militaires consommateurs n’auront plus accès à certains produits pourtant parmi les plus vendus dans les enseignes de la DeCA. À noter que le cabinet de conseil, seul sur cette mission, empoche une rémunération garantie. Celle-ci est évaluée à 50 millions de dollars, auxquels s’ajoutera un pourcentage des économies réalisées.

    Source : The News Tribune

  • La crise migratoire remplit les poches de McKinsey en Allemagne
    Monde
    04/11/16

    McKinsey aura su profiter de la crise migratoire en Allemagne. Comme nous vous l’avons rapporté à plusieurs reprises, le cabinet accompagne le gouvernement fédéral depuis un an dans sa gestion du problème, parfois en pro bono, plus souvent dans le cadre de missions rémunérées. Mercredi 2 novembre, Der Spiegel révèle que ces interventions auraient rapporté plus de 20 millions d’euros au cabinet de conseil depuis octobre 2015.

    Le cabinet de conseil en stratégie avait d’abord débuté par une mission pro bono jusqu’en février dernier. Une mission qui aurait dû être facturée 1,1 million d’euros. Le cabinet a finalement arrêté le pro bono et continué à travailler sur le sujet, cette fois en se faisant payer. Il a reçu 15,5 millions d’euros pour son accompagnement de l’Office des réfugiés. Der Spiegel détaille même l’une des missions. Pour une étude sur l’expulsion des réfugiés, McKinsey a facturé 1,86 million d’euros, pour un taux quotidien moyen de 2 700 euros.

    L’autre révélation de l’article de l’hebdomadaire allemand, c’est qu’en plus d’accompagner l’Office des réfugiés, McKinsey a également pris en charge une mission auprès du groupe de travail commun entre cet office et l’agence fédérale pour l’emploi. Une mission facturée 4,96 millions.

    En tout, c’est donc plus de 20 millions d’euros que le cabinet de conseil aura facturés en une année. Une manne qui n’est pas prête de se tarir. L’Office des réfugiés a annoncé qu’une nouvelle mission serait lancée en janvier, cette fois sur appel d’offres. L’office cherche un ou plusieurs cabinets qui pourraient l’accompagner au cours des quatre prochaines années, pour un total de 42 400 jours de travail. Assez logiquement, McKinsey est bien parti pour s’adjuger tout ou partie de l’appel d’offres.

  • McKinsey accompagne le gouvernement canadien en pro bono
    Monde
    03/11/16

    En février dernier, le Premier ministre canadien Justin Trudeau nommait Dominic Barton, patron mondial de McKinsey, à la tête d’un groupe de travail réfléchissant à l’avenir de l’économie nationale. Cette nomination ne concernait, du moins en apparence, que Dominic Barton à titre personnel. Finalement, on apprend grâce au site canadien Maclean's que des consultants de McKinsey sont directement impliqués dans le projet. S’interrogeant sur les raisons de la participation de Dominic Barton à cette commission, le média a pu avoir la confirmation par le ministère des Finances d’interventions auprès de la commission de consultants du cabinet qui fournissent des études et analyses et administrent les prestations du groupe de travail. D’après le ministère des Finances canadien, ces missions sont fournies à titre gracieux par le cabinet de conseil en stratégie.

  • McKinsey se paie la rémunération des managers d’Harvard
    Monde
    02/11/16

    McKinsey a jeté un sacré pavé dans la mare de son école préférée, Harvard. Un rapport d’avril 2015, qui vient tout juste d’être rendu public, pointe du doigt la rémunération des managers de l’école. En effet, les onze plus importants dirigeants de l’école ont, à eux tous, récolté pour 242 millions de dollars de salaire et bonus en seulement cinq ans.

    Dans son rapport, McKinsey estime que les bonus, particulièrement élevés, sont accordés en fonction d’objectifs « easy-to-beat ». Un fait qui ne plaît pas aux autres salariés d’Harvard, qui se sont plaints auprès du cabinet de conseil. Le cabinet de conseil en stratégie, sans peur de vexer son client, a par exemple mis en avant le témoignage de l’un des salariés qui qualifie les dirigeants de « lazy, fat, stupid ».

    Autre fait marquant du rapport, on apprend que le benchmark utilisé pour fixer la rémunération des dirigeants est quelque peu fantaisiste. Non seulement le salaire dépasse largement ce qu’il se fait sur le marché, mais l’on apprend également que les dirigeants peuvent négocier le benchmark sur lequel sera étalonnée leur rémunération.

    Harvard a réagi à la fuite du rapport. L’école rappelle qu’il lui a été remis en avril 2015 et que depuis, elle a pris les mesures nécessaires pour normaliser la situation.

    Source : Bloomberg

  • McKinsey planche sur plus de privatisation dans les transports bostoniens
    Monde
    28/10/16

    La Massachusetts Bay Transportation Authority, qui gère les transports en commun de Boston et sa banlieue, a embauché McKinsey pour travailler à une privatisation accrue de certains de ses services. Ainsi, le cabinet doit principalement réfléchir à une diminution des coûts liés à la conduite et à la maintenance, notamment en planchant sur une externalisation de ces services.

    La mission, lancée en septembre, doit durer un mois et demi et sera facturée un peu moins de 1 million de dollars. Le Boston Globe évoque ainsi un coût de 158 000 dollars par semaine de travail pour McKinsey, la mission totale devant durer six semaines.





  • Deux nouveaux associés chez Bain à Paris
    Monde
    27/10/16

     

    Bain & Company a officialisé, jeudi 20 octobre, la nomination de deux nouveaux partners pour le bureau parisien. Le premier, Bernard Birchler, a quitté, comme nous vous l’indiquions mi-septembre, Oliver Wyman pour rejoindre Bain. Il vient renforcer la practice services et biens industriels. Cet ingénieur de 55 ans, diplômé de l’ENSEM (1985), a près de vingt-cinq ans d’expérience dans le conseil en stratégie et est passé notamment par Bossard, Capgemini Consulting, Hemeria et finalement Oliver Wyman.

    La deuxième nomination concerne Doris Galan, un pur produit Bain & Company. Doris Galan, diplômée de l’ESSEC (2002) et titulaire du MBA de l’INSEAD (2007), a en effet intégré le cabinet dès 2003 et ne l’a pas quitté depuis. Elle devient partner au sein de la practice private equity, où elle accompagne essentiellement des due dil dans les secteurs des technologies, des médias et de la communication.

     

  • Les bonnes relations d’Oliver Wyman avec la Banque du Portugal
    Monde
    26/10/16

    La Banque du Portugal fait régulièrement appel à Oliver Wyman pour l’accompagner dans ses missions de soutien et de secours des différentes banques du pays. La presse s’est dernièrement fait l’écho d’une nouvelle mission pour le cabinet auprès de la Banque centrale portugaise. Il s’agit cette fois d’une petite mission de conseil, dont les contours n’ont pas été révélés. Tout ce que l’on sait, c’est qu’Oliver Wyman a été embauché par la Banque du Portugal pour une mission de quatorze jours rémunérée autour de 100 000 euros.

    En deux ans, c’est la quatrième fois que la Banque du Portugal fait appel à Oliver Wyman. La mission la plus importante avait été l’accompagnement du régulateur de la banque publique dans la recapitalisation, puis la liquidation de la Banif. Cette affaire a d’ailleurs valu à Oliver Wyman de faire les gros titres de la presse spécialisée lusitanienne, l’ancien CEO de la Banif s’étant interrogé devant une commission parlementaire sur un éventuel conflit d’intérêts pour le cabinet dans cette affaire.

    Source : Negocios

  • McKinsey teste un nouveau concept à Toronto, l’Experience Studio
    Monde
    25/10/16

    La période, dans le conseil en stratégie, est à la création de nouveaux concepts pour aider les grands clients à développer leurs capacités d’innovation et à se rapprocher des start-up. Dans cette course aux bonnes idées, McKinsey a créé un nouveau concept, l’Experience Studio, dont un premier bureau a été ouvert à Toronto mi-octobre.

    L’Experience Studio est avant tout un lieu où les dirigeants des grandes sociétés peuvent, pour trois jours à deux semaines, s’éloigner de leur quotidien et s’imprégner de la culture start-up. Des formations sur les nouvelles économies, les méthodes agiles et tout autre concept lié à l’innovation leur sont proposées. L’Experience Studio se veut également un lieu de rencontres et d’échanges. Il organisera régulièrement des événements où les clients pourront rencontrer ceux qui font la nouvelle économie.

    L’Experience studio n’a pas vocation à se cantonner à Toronto. Un autre bureau devrait être ouvert à New York dans les prochains mois avant, peut-être, de s’étendre à d’autres parties du globe.

    Soure : Techvibes


  • Facebook recrute un ancien Bainie français
    Monde
    24/10/16

    Facebook France a recruté un ancien consultant de Bain pour prendre en charge les activités Auto, Finserv et Tech/Telco. Comme à son habitude, le réseau social a été chercher un profil hybride entre le conseil et l’industrie. Il s’agit de Nicolaï Gérard, passé aussi bien par Peugeot, PespiCo et le groupe SEB que par le conseil en stratégie. Ce diplômé de l’ESCP (1997) et titulaire d’un MBA de la Wharton School (2003) est entré chez Bain & Company en 1999 et y est resté plus de douze années. Il intervenait principalement auprès de la grande distribution, des telco et du private equity. Nicolaï Gérard a été successivement basé à Paris, Los Angeles et New York.

  • Roland Berger nomme deux Français à la tête de sa practice financial services en APAC
    Monde
    21/10/16

     

    Roland Berger a nommé en septembre deux nouveaux co-heads de sa practice financial services pour la région Asie-Pacific. Il s’agit de deux Français, Alain Le Couédic et Philippe Chassat.

     

  • Bain a facturé un million d’euros par an aux ex-PagesJaunes (Solocal)
    Monde
    20/10/16

    La direction de Solocal (ex-PagesJaunes) a dévoilé, lors de l’assemblée générale des actionnaires du mercredi 19 octobre, le montant des honoraires payés à Bain & Company pour ses missions auprès de la société.

    Entre 2008 et aujourd’hui, le cabinet a touché pour « un peu plus d’un million d’euros par an en moyenne », comme indiqué dans les réponses aux questions posées. Bain est intervenu essentiellement, mais pas exclusivement semble-t-il, sur le programme de transformation de l’entreprise, Digital 2015.

  • Un ancien Bainie chez Candriam
    Monde
    19/10/16

    Le groupe Candriam (ex Dexia Asset Management) a nommé, mardi 18 octobre, un ancien partner de Bain pour prendre en charge la stratégie de la société. Elias Farhat devient le nouveau chief strategy officer et membre du comité exécutif du groupe d’investissement. Ce diplômé de l’ESSEC (1990) avait jusqu’à présent toujours exercé dans le conseil, principalement aux États-Unis. De 1990 à 2002, il était consultant chez Bain & Company – jusqu’à en devenir l’un des partners – avant de créer sa propre société, Velocity Advisors, qui accompagne les entreprises dans leurs acquisitions aux États-Unis. Il était également partner du fonds de private equity Capital E Advisors. L’arrivée d’Elias Farhat chez Candriam semble marquer un tournant dans la stratégie du groupe d’origine européenne qui pourrait bien s’orienter vers une stratégie de croissance externe. De quoi entrevoir quelques belles missions pour les cabinets de conseil, et Bain, avec un alumni au poste décisionnel, semble avoir déjà une longueur d’avance sur ses concurrents.


  • Jackpot pour les consultants à la CdC
    Monde
    18/10/16

    La Caisse des Dépôts et Consignations (CdC) a budgétisé une enveloppe de 22 millions d’euros sur quatre ans dévolue au seul conseil en stratégie. Comme le révèle Challenge dans son édition du 12/10, l’organisme public entend faire appel à des cabinets de conseil pour la définition de sa stratégie et de son organisation, mais également pour réaliser des études sur ses différents secteurs d’intervention (logement, infrastructures, assurances…).

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