Basée au bureau de New York, Alexandra Truwit a remporté deux médailles d’argent en natation, un an après avoir survécu à une attaque de requin qui a nécessité une amputation.
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La Firme envisage de revoir ses pratiques de télétravail à la baisse, selon plusieurs déclarations concordantes de partners américains.
Il fait partie des neuf bureaux du cabinet Advancy. Le bureau de New York, ouvert tout juste 20 ans après la création du cabinet, compte aujourd’hui une quarantaine de consultants, dont trois Français, selon le décompte de Consultor.
La crise pandémique a fait prendre conscience des faiblesses du lean management sur la supply chain. Peter S. Goodman, journaliste au New York Times, se montre sévère dans son dernier livre. Pour lui, ce modèle – qui doit en grande partie sa généralisation à McKinsey – est perdant à tous les coups.
À l’heure des grands programmes de développement « Visions », lancés successivement par les pays du Golfe pour préparer l’après-pétrole, la demande de consultants en stratégie occidentaux semble florissante. Qui sont-ils ? Que viennent-ils chercher dans la région ? Quelle place occupent ces expériences dans leurs CV ? Quelques éléments de réponse.
- Monde16/09/15
Le président de la chaîne de supermarchés Woolworths, Gordon Cairns, a annoncé sa décision de quitter McKinsey. En parallèle à ses différents mandats, il opérait en qualité d’advisor depuis plusieurs années pour le secteur de la grande distribution.
La principale raison du départ de Gordon Cairns tient, selon Business Spectator, dans l’allègement de son emploi du temps alors que les supermarchés Woolworths connaissent l’une des crises les plus importantes de leur histoire. Gordon Cairns, qui avoue que sa collaboration avec McKinsey lui manquera, entend également mettre fin aux rumeurs de conflit d’intérêts. Le cabinet a en effet réalisé de très nombreuses missions au sein du groupe Woolworths. Selon certains observateurs, McKinsey aurait facturé près de 35 millions de dollars en deux ans à la chaîne de grande distribution.
crédit : The Australian - Monde15/09/15
L’INSEAD pointe une nouvelle fois à la première place du classement des MBA établi par Forbes en un an. Sans surprise, ces diplômés intègrent en priorité le conseil en stratégie. McKinsey arrive en tête du classement des recruteurs. Le cabinet a attiré l’année dernière quelque 120 diplômés de l’INSEAD, sur le millier qui sort chaque année de l’école. Le BCG et Bain & Company complètent le podium, avec respectivement 70 et 44 recrutements au sein de la dernière promotion.
- Monde14/09/15
Bridgepoint, fonds d’investissement actif dans le non-coté, a nommé associé Denis Villafranca le mardi 8 septembre. Diplômé de HEC et titulaire d’un MBA à Harvard, ce dernier quitte un autre fonds, BC Partners, qu’il avait rejoint en 1999.
Avant de s’intéresser au secteur financier, Denis Villafranca avait fait ses armes dans le conseil en stratégie, chez Bain & Company où il a passé les sept premières années de sa carrière. Il devient le cinquième partner de Bridgepoint, quelques mois après que l’entreprise a levé avec succès son cinquième fonds européen d’un total de 4 milliards d’euros.
- Monde11/09/15
Oliver Wyman a annoncé mercredi 9 septembre sa volonté de recruter des collaborateurs parmi les réfugiés qui affluent en Europe. Le cabinet va créer un process de recrutement spécifique afin d’identifier les personnes qui pourraient rejoindre ses équipes.
Oliver Wyman souhaite par ailleurs mobiliser un réseau d’associations afin d’aider les réfugiés à entreprendre ou trouver un travail. Le patron de la firme, Scott McDonald, assure que, même si les solutions à la crise actuelle sont complexes à mettre en œuvre, le cabinet entend participer lorsqu’il le pourra à l’effort global d’intégration des réfugiés.
- Monde10/09/15
Le Boston Consulting Group a pris des parts dans le cabinet australien TSG Consulting. Ce dernier, créé en 1999 et dont les 50 consultants œuvrent en Australie et au Chili, intervient principalement dans le secteur minier. Depuis quelques années, TSG a diversifié ses activités et conseille désormais des clients dans les secteurs du transport et de l’industrie. Le BCG devient le plus gros actionnaire externe de TSG, même s’il reste minoritaire. Les deux parties n’ont pas souhaité révéler le montant de l’opération ni le pourcentage de parts prises par le BCG.
- Monde09/09/15
L’Australian Financial Review révèle cette semaine l’embarras de BCG et de McKinsey, suite à des études publiées par les deux cabinets.
La firme bostonienne, d’abord, a dû faire un rétropédalage la semaine dernière. En juin, ses équipes annoncent que la Chine compterait 4 millions de millionnaires. Le chiffre ne choque pas, bien qu’il place la Chine au deuxième rang mondial. Mi-août, le Boston Consulting Group toujours publie une nouvelle étude, sans rapport. Cette fois, la Chine compterait 2 millions de millionnaires. Du simple au double en à peine deux mois. Gêné, le cabinet n’explique d’abord pas la source de cette erreur. Les équipes chinoises parlent de différences de méthodologie et d’ajustements de date. Le 21 août, le BCG fait finalement amende honorable et reconnaît une erreur. Le chiffre à retenir, c’est le plus bas des deux. La direction du cabinet impute la bourde à une erreur sur une ligne de son modèle.
Le BCG n’est pas le seul à s’embourber dans la masse des données disponibles en Chine. McKinsey en a fait les frais cette année au sujet de la production d’acier. Au printemps 2013, le cabinet prévoit que la production devrait atteindre 1 milliard de tonnes entre 2025 et 2030. Une progression de 60 % par rapport au volume de 2010. Raté. Au début de cette année, la production a diminué de plus d’un point.
Il n’en fallait pas plus pour que L’Australian Financial Review conclut à l’impossibilité, ou du moins à la très grande difficulté, à faire des modèles fiables pour la Chine. De quoi poser des problèmes aux dirigeants d’entreprises, qui fondent souvent leur stratégie sur les rapports des cabinets de conseil.
- Monde08/09/15
Roland Berger a annoncé lundi 7 septembre une refonte de son logo pour la troisième fois depuis la création de l'entreprise en 1967. Le nom du cabinet demeure mais se fait plus petit et est cette fois accompagné d'un grand B couleur titane.
La firme allemande entend ainsi illustrer la nouvelle palette de services offerte par ses consultants, au-delà du classique conseil en stratégie. Le B en titane doit représenter l’excellence et la force. Ce métal est en effet utilisé dans de nombreuses industries où il est allié à d’autres matériaux, illustrant ainsi la capacité de Roland Berger à travailler avec des clients et des partenaires de différents secteurs. Si le gris métal est la couleur de base, le B, pièce centrale du logo, pourra parfois changer de couleur ou être rempli d’image ou même de vidéo, selon la practice ou l’expertise qu’il symbolise.
- Monde07/09/15
Babar Afzal, natif des montagnes du Kashmir, a fait une belle carrière dans différentes multinationales, jusqu’à intégrer le knowledge center de McKinsey à New Delhi. Les quelque 150 000 $ qu’il pouvait gagner par an n’ont pourtant pas réussi à lui faire oublier ses racines. Diplômé d’une business school, parmi les 0,3 % les plus riches de son pays, il a tout quitté pour mener un troupeau de chèvres, productrices du très cher pashmina.
L’ancien analyste met à profit ses compétences en inculquant quelques rudiments des affaires à ses compatriotes. Il les incite par exemple à travailler eux-mêmes la laine, pour limiter le nombre d’intermédiaires, et à investir une partie de leurs recettes chaque année dans le développement de leur région. Babar Azfal met également à contribution ses anciennes connaissances pour faire entrer des capitaux. Il espère ainsi que le Kashmir pourra profiter un peu de la manne financière que représente le pashmina. Dans les boutiques parisiennes, certains produits peuvent se vendre jusqu’à 200 000 $.
- Monde04/09/15
La Banque Centrale Européenne a dû se rendre à l'évidence, elle ne respectera pas les délais pour réaliser la revue des modèles internes des banques de l'Union. Initialement, la BCE pensait avoir terminé la revue des 123 établissements européens en 2016. Elle a finalement allongé le calendrier de quatre ans, selon un document qu'a pu consulter le Financial Times.
Pour atteindre son nouvel objectif, la BCE a lancé un appel d'offre car il compte bien s'adjoindre les services de cabinets externes. Pour l'Asset Quality Review, elle avait déjà fait appel à Oliver Wyman. Cette fois, vu l'ampleur de la tâche, la BCE compte cette fois faire appel à 10 prestataires différents. De quoi aider à la rencontre entre les consultants !
- Monde02/09/15
Johan Aurik, le CEO d'A.T. Kearney, va à contre-courant du discours général qui veut que vie personnelle et vie professionnelle soient strictement séparées. Au contraire, selon lui, elles sont intimement liées et les laisser parfois se croiser serait le secret de sa réussite.
Il explique ainsi à Business Insider qu'à la mort de son père, il n'a pas cherché à cacher ses émotions et arpentait les bureaux les larmes aux yeux. Selon Johan Aurik, les émotions peuvent même servir le consultant. Celui-ci ne vend pas un bien, mais un avis. Cela implique que le client ait confiance en vous et cela ne peut se faire que s'il a confiance en vos émotions.
Alors consultants, à vos mouchoirs !
- Monde01/09/15
L'avatar internet du Financial Time prodigue d'étranges conseils à ses lecteurs. A l'un d'entre eux, consultant chez McKinsey depuis 2 ans et qui s'interroge sur son avenir, la journaliste a tout bonnement conseillé de quitter l'entreprise. Dans sa question, le lecteur précise qu'il est noté 'average' mais que ses managers lui affirment qu'il a une belle carrière devant lui. Pour la journaliste, pas de doute, il faut fuir et vite. Après avoir précisé qu'à ses yeux, les évaluations ne valent pas grand chose, elle s'en prend à l'environnement de McKinsey. Selon elle, son lecteur est entouré de 'thrusting clever dicks who are doing better than you are'. La conclusion de l'article n'est pas moins radicale. Le jeune homme doit quitter rapidement McKinsey pour rejoindre Deloitte ou Accenture, où les évaluations ont été supprimées, ou alors une plus petite société, où il sera moins en concurrence.
Chez Consultor.fr, nous avons une toute autre lecture. D'abord, être 'average' chez McKinsey n'est pas une tare, surtout en tout début de carrière. Bien sûr dans n'importe quel cabinet, on ne fait pas une carrière fulgurante sans être mieux évalué que ses pairs. Mais McKinsey et ses concurrents savent très bien indiquer la sortie. Si ça n'est pas fait, c'est que le jeune consultant a encore du chemin à parcourir dans le conseil. Si les missions lui plaisent, alors qu'il continue à travailler, mette son égo de côté et cherche à progresser sur ses points faibles. A chaque nouvelle mission, il s'enrichit, s'améliore et par là même, il augmente son employabilité tout en donnant l'occasion à ses managers de l'évaluer positivement. Les parcours ne sont pas linéaires et sa courbe de progression peut être plus lente au début que celle de ces congénères. C'est toujours mieux d'avoir des évaluations qui progressent plutôt que le contraire !
A lui de faire ses preuves et de tirer le meilleur de son expérience chez McKinsey tant qu'il s'y sent bien.
- Monde28/08/15
Interrogé par le magazine allemand Wirtschafts Woche, le managing director de Bain & Company, Bob Bechek, assure que son cabinet est en bonne voie pour réussir son objectif d'une croissance à deux chiffres pour 2015.
- Monde26/08/15
McKinsey a annoncé un nouveau partenariat avec Gallup, entreprise américaine spécialisée dans l'analyse de performance des organisations. Ensemble, les deux compagnies créent la Organizational Science Initiative. L'objectif est de développer de nouvelles approches de diagnostic des organisations en utilisant les données disponibles, notamment d'un point de vue RH.
McKinsey et Gallup ont d'ores et déjà formé une équipe commune qui doit lancer le projet. Elle se concentre pour l'instant sur le recrutement de DRH de grosses sociétés pour constituer l' 'advisory board' de la future Organizational Science Initiative.
- Monde25/08/15
Les étudiants des plus grands MBA américains sont une majorité à privilégier un stage dans une start-up plutôt que dans le conseil en stratégie rapporte Fortune. La tendance, si elle n'est pas nouvelle, s'affirme peu à peu. Ainsi, selon Kristen Fitzpatrick, en charge des carrières et du développement professionnel à la Havard Business School, 67% des étudiants de première année ont choisi d'effectuer leur stage d'été au sein d'une start-up. Et l'école les encourage en ce sens. Kristen Fitzpatrick l'avoue, Harvard offre des facilités aux start-up dont les moyens sont limités. L'école leur permet ainsi de venir gratuitement sur le campus ou les aide à obtenir les moyens de financer le stage d'été d'un étudiant d'Harvard.
Cette tendance risque bien d'avoir un impact sur la politique de recrutement des plus grands cabinets de stratégie. En effet, les McKinsey, BCG et Bain souhaitent souvent que leurs futurs consultants aient déjà fait leur stage d'été chez eux avant de leur offrir un poste. Si ces cabinets souhaitent toujours attirer les meilleurs diplômés des MBA, il faudra sans doute qu'ils assouplissent quelque peu leur politique de recrutement.
- Monde24/08/15
Terje Breivik, député du parti Libéral norvégien, s'est offusqué en juillet auprès du gouvernement norvégien du non-paiement par McKinsey d'impôts en Norvège depuis trois ans. Il met en avant que, dans le même temps, le cabinet de conseil était retenu par le gouvernement pour plusieurs missions significatives.
Ainsi, McKinsey a gagné deux appels d'offres : l'un du ministère du Travail et des Affaires Sociales, et l'autre du ministère de la Défense qui peuvent représenter un peu plus de 10 millions d'euros (100 millions de couronnes norvégiennes) de revenus pour le cabinet d'ici un an.
Il a demandé au ministre des Finances de n'attribuer d'appel d'offres public qu'à des cabinets de conseil qui paient leurs impôts dans le pays ou, à minima de prendre en compte dans les critères d'évaluation le montant d'imposition de chaque cabinet dans le pays.
Le Managing Partner norvégien de McKinsey, Ole Jørgen Vetvik a indiqué le mois dernier que le bureau norvégien contribuait positivement au résultat du cabinet au niveau mondial et qu'il avait une profitabilité satisfaisante en Norvège. Pourtant, le cabinet qui compte 103 employés en Norvège, a déclaré en 2014 un chiffre d'affaires d'un peu plus de 40 M€ (416 millions de couronnes) pour un déficit avant impôt de 1 M€ (12 millions de couronnes).
Selon Ole Jørgen Vetvikdéficit, le déficit s'explique par le fait que les consultants travaillent à la fois en Norvège et à l'étranger et que lorsque les consultants effectuent une mission à l'étranger pour un client norvégien, une grande partie du chiffre d'affaires est attribuée à un autre bureau de McKinsey.Pour le député, McKinsey n'a rien fait d'illégal, mais il questionne l'éthique du cabinet de conseil qu'il accuse d'évasion fiscale.
- Monde21/08/15
Selon une information de Bloomberg, BNP Paribas s'est attaché les services d'Oliver Wyman et du Boston Consulting Group afin de définir un plan de réorganisation ambitieux de sa banque d'investissement.
Le plan intitulé 'CIB of tomorrow' viserait une réduction des coûts de 20 % à horizon 2019 et serait plus ambitieux que les plans précédents menés en 2011 et 2012.
- Monde20/08/15
Dans une interview pour le quotidien emirati The National, Kito de Boer revient sur son départ de McKinsey en 2014 pour représenter le Quartet pour le Moyen Orient (ONU, Union Européenne, USA et Russie) dont le mandat est d'appuyer les négociations de paix au Moyen Orient et de soutenir le développement de la Palestine.
Il explique sa quête de sens après 30 ans de carrière bien remplie chez McKinsey alors qu'il n'était pas prêt à prendre sa retraite. “The path to retirement in McKinsey is a comfortable one, but retirement lacks meaning. I did not want to retire, I knew I had to rewire. At a strategic level I was open to the idea of reinvention, although this was at a metaphysical level. I had done nothing to translate this realisation into action”.
Il explique pourquoi il a accepté le poste à la demande de John Kerry et en quoi ses qualités de consultant lui servent dans sa fonction actuelle.
Il rappelle au passage ses faits d'arme chez McKinsey, l'appartenance à l'équipe fondatrice du bureau indien à Delhi en 1992, la création et la direction du bureau du Moyen Orient basé à Dubai puis la direction de la practice secteur public du cabinet.
- Monde18/08/15
Accenture a annoncé lundi avoir conclu un accord pour racheter Schlumberger Business Consulting (SBC), la branche de conseil du groupe de services pétroliers franco-américain Schlumberger confrontées aux difficultés du secteur suite à la faiblesse des cours du pétrole depuis fin 2014.
SBC se présente comme le premier cabinet de conseil en management spécialisé sur le secteur gazier et pétrolier et propose des services de conseil en stratégie, opérations, gestion des talents et transformation, grands projets, fusions et acquisitions. Créé en 2004, le cabinet est rapidement devenu un cabinet de dimension mondiale avec plus de 250 consultants répartis dans 9 bureaux à travers le monde.
Tous les employés et actifs de SBC seront intégrés dans la branche Accenture Strategy et compléteront 'les expertises d'Accenture Strategy, centrées sur les technologies et le numérique' selon Mark Knickrehm, directeur général d'Accenture Strategy, branche du cabinet de conseil spécialisée dans la stratégie d'entreprise et le stratégie en technologie.
- Monde17/08/15
Expert360 vient de boucler une levée de plus de 4 millions de dollars de capital. La start-up australienne veut mettre en relation les consultants indépendants avec les entreprises clientes et court-circuiter ainsi les cabinets classiques. Le site se démarque d'autres concurrents par l'expertise de ses membres, qui chargent en moyenne 100$ de l'heure, contre 8$ pour des concurrents tels que freelancer.com.
L'idée d'une telle plateforme a germé dans la tête de deux anciennes consultantes, Bridget Loudon et Emily Yue, collègues chez Bain & Company. Depuis son lancement en 2013, la plateforme a recruté 4 500 consultants pour des missions, seul ou en équipe, allant jusqu'à 80 000 dollars d'honoraires. Les deux créatrices ont désormais plus de 4 millions de dollars pour développer un concept qui, selon elles, est réclamé autant par les clients que par les consultants eux-mêmes, qui souhaitent choisir leurs missions.
- Monde11/08/15
Bain & Company a lancé en juin dernier 'Inspired', une application pour smartphone destinée à ses consultants. L'outil vient en complément du programme interne 'Inspirational Leadership'. L'application permet notamment au consultant de renseigner ses points forts et expertises, afin de se construire sa propre marque au sein du cabinet et de mettre en relation les consultants autour du programme 'Inspirational Leadership'.
Si elle est chargeable par tous, sur les 'stores Androïd ou Iphone, elle nécessite un email @bain pour fonctionner.