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Advancy à la conquête de l’Ouest
Monde
30/09/24

Il fait partie des neuf bureaux du cabinet Advancy. Le bureau de New York, ouvert tout juste 20 ans après la création du cabinet, compte aujourd’hui une quarantaine de consultants, dont trois Français, selon le décompte de Consultor.

Advancy à la conquête de l’Ouest
Les pays du Golfe, nouvel Eldorado du consulting ?
Monde
10/07/24

À l’heure des grands programmes de développement « Visions », lancés successivement par les pays du Golfe pour préparer l’après-pétrole, la demande de consultants en stratégie occidentaux semble florissante. Qui sont-ils ? Que viennent-ils chercher dans la région ? Quelle place occupent ces expériences dans leurs CV ? Quelques éléments de réponse.

Les pays du Golfe, nouvel Eldorado du consulting ?

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  • McKinsey à la manoeuvre dans le domaine des télécommunications en Argentine?
    Monde
    15/06/16

    La presse argentine a révélé l'embauche de McKinsey par le ministère des télécommunications argentin, malgré les démentis initiaux du ministre lui-même. L'administration a finalement consenti à avouer une collaboration avec McKinsey. Selon les officiels, la mission se bornerait à accompagner une agence gouvernementale, l'ARSAT, dans sa communication. La presse argentine met en doute cette version. Elle a pu mettre la main sur la proposition de collaboration de McKinsey, présentée début mars au ministre. Dans ce document, McKinsey prévoit de travailler bien plus largement et se donne pour objectif de définir un nouveau cadre réglementaire autour des NTIC. Pour cette mission, le cabinet de conseil en stratégie aurait prévu seize semaines de travail pour une facture totale de 875 000 dollars.

    Source : Pagina12

  • Bob Bechek (Bain), meilleur patron américain ; Dominic Barton (McKinsey) en troisième position
    Monde
    14/06/16

    Glassdoor a révélé son classement des meilleurs CEO aux Etats-Unis. Comme chaque année, le site internet a demandé à ses utilisateurs de noter leur propre patron. A ce petit jeu, c'est Bob Bechek, le patron mondial de Bain & Company, qui remporte la palme. Il reçoit le score sans appel de 99% d'opinion favorable. Bob Bechek n'est pas le seul à obtenir un tel score de république bananière. Deux autres CEO obtiennent 99% d'opinion favorable : Scott Scherr, patron d'Ultimate Software, et Dominic Barton, patron mondial de McKinsey. Ce dernier est classé troisième, sans que l'on sache comment s'est fait la différence entre les trois patrons à 99% d'opinion favorable.

  • Francis Le Cam rejoint Oliver Wyman
    Monde
    13/06/16

     

    Oliver Wyman a annoncé, mercredi 1er juin, la nomination de Francis Le Cam au poste de senior advisor. Francis Le Cam, HEC 1970, a mené presque toute sa carrière dans l’industrie agroalimentaire. Passé par Procter&Gamble et Danone, il avait rejoint le Groupe Bel en 1995. En 2003, il avait pris la vice-présidence du Groupe Bel et la direction générale de Bel Europe avant d’être nommé, en 2012, directeur général délégué du groupe en charge des opérations, poste qu’il a quitté en 2015.

    Source : CBNews

     

     

  • Kea & Partners, troisième du classement HappyAtWork
    Monde
    10/06/16

    Kea & Partners est arrivé troisième ex aequo du classement HappyAtWork for starters dans la catégorie des entreprises de moins de 5 000 salariés. Le classement, réalisé par meilleures-entreprises.com en partenariat avec Les Echos.fr, est établi sur la base de questionnaires envoyés aux collaborateurs de chaque entreprise participante. Chaque entreprise est évaluée sur six dimensions : le développement professionnel, l'environnement de travail stimulant, le management, la reconnaissance/motivation, la fierté et le plaisir. 

    Une belle récompense pour le cabinet de conseil qui fête ses quinze ans.

  • McKinsey pressenti pour plancher sur l’avenir du Souss (Maroc)
    Monde
    09/06/16

    Selon des informations parues dans la presse marocaine, McKinsey serait sur le point de signer un contrat avec la région du Souss au Maroc. Le conseil régional souhaite que le cabinet étudie les différentes opportunités de développement pour la région. Celle-ci fait déjà l’objet d’un plan de développement, initié en 2004. Mais celui-ci ne donne pas entière satisfaction et McKinsey devrait bientôt être chargé de le réorienter. La mission, d’une durée de cinq mois, serait facturée 7 millions de dirhams marocains (plus de 640 000 euros).

    Source : 360.ma

  • Grande fête pour les 30 ans du BCG en Italie
    Monde
    08/06/16

    Le bureau milanais du BCG a fêté ses 30 ans, dimanche 29 mai. À cette occasion, le Boston Consulting Group a réuni cent des meilleurs étudiants du pays. Ils ont notamment pu écouter les conférences d’importantes personnalités, au premier rang desquelles le Premier ministre, Matteo Renzi. En parallèle, le cabinet a inauguré une exposition photo sur sa terrasse, retraçant trente ans de présence dans le pays. En trois décennies, les plus grands dirigeants se sont succédé sur la terrasse, mais aussi, et plus étonnant, des pop stars comme les Beatles.

    Source : Ansa.it

  • Oliver Wyman prépare l’émission d’obligations koweïtiennes
    Monde
    07/06/16

    Le Koweït a fait appel à Oliver Wyman pour élaborer sa stratégie de dette. Le pays, à l’instar des autres pays du Golfe, cherche à compenser la chute du prix du pétrole, qui a creusé de plus de 26 millions de dollars son budget prévisionnel. Le Koweït, après avoir testé le marché local, a décidé de se lancer sur le marché obligataire mondial. Les termes de la mission d’Oliver Wyman restent inconnus, tout comme le calendrier prévisionnel d’émission des obligations, la réflexion viendrait à peine de débuter.

    Source : Bloomberg

  • Le fonds d'investissement secret de McKinsey à la une du FT
    Monde
    06/06/16

    Le Financial Times a lâché, dimanche 5 juin, une véritable bombe pour McKinsey. Le journal révèle en effet que les lignes de démarcation entre le cabinet et son fond d'investissement, McKinsey Investment Office (MIO), ne sont pas si claires et encore moins étanches. En effet, le board de MIO est constitué en partie d'actuel Senior Partners de la firme, encore actifs chez les clients. De quoi soulever de sérieuses questions quant à d'éventuels conflits d'intérêt, d'autant plus que les statuts du MIO prévoient expressément qu'il ne s'interdit pas d'investir dans des clients de la maison mère.

    MIO, qui gère pour 9.5 milliards de dollars d'avoirs, est en théorie totalement indépendant de McKinsey. Il emploie 80 salariés à travers le monde, salariés qui ne sont pas membres de McKinsey et travaillent dans des locaux séparés. Toutefois, le Financial Times révèle que 5 des 9,5 milliards de dollars sous gestion sont en fait des avoirs appartenant directement aux partners de McKinsey, le reste étant la propriété du fond de pension du cabinet. Lorsqu'un associé conseille un client, ses intérêts propres sont donc directement en jeux, puisqu'une partie de son argent a potentiellement été investie par MIO dans ce même client ou chez un concurrent. Et le trouble est encore plus grand lorsque l'on s'aperçoit que le board de MIO est constitué d'anciens mais également d'actuels Senior Partners de McKinsey (avec par exemple les responsables des practices énergie, banque d'investissement et private equity). Pour enfoncer le clou, le FT affirme qu'aucune biographie de Senior Partners de McKinsey présents au board de MIO ne mentionne cette activité.

    McKinsey, interrogé par le FT, assure que son fond est totalement indépendant. Il rappelle par ailleurs qu'il est contrôlé par les autorités américaines et britanniques. Malgré tout, si la légalité d'une telle organisation n'est sans doute pas en cause, la question pourra se poser pour les clients de la neutralité des consultants de McKinsey. Une interrogation plus légitime encore lorsque l'on analyse les résultats de MIO. En 25 ans d'existence, il n'a été déficitaire qu'une seule fois, en 2008. En 2014, il affichait un rendement de 14%, très au-dessus des 3% de moyenne dans l'industrie des hedge funds.

  • McKinsey accompagne la transformation de la plus grande structure de formation professionnelle australienne
    Monde
    03/06/16

    McKinsey a été choisi pour accompagner TAFE NSW en vue de sa prochaine reprise par l’État fédéral australien. Jusqu’à présent, chaque État gérait la formation professionnelle de façon autonome, via un organisme appelé TAFE. En février dernier, l’État fédéral a annoncé nationaliser cette responsabilité et fusionner les différents TAFE à compter d’août 2018.

    TAFE NSW, pour New South Wales (Nouvelle-Galles du Sud), est le plus important prestataire de formation professionnelle du pays. Il a annoncé fin mai faire appel à McKinsey pour l’accompagner dans sa transformation et dans le transfert de ses activités à l’État fédéral. La mission, qui doit durer deux ans, sera facturée 1,65 million de dollars australiens (un peu plus de 1 million d’euros).

    Source: The Sydney Morning Herald

  • Le BCG lance sa propre application de gestion des voyages
    Monde
    02/06/16

    Le BCG a lancé une toute nouvelle application à destination de ses collaborateurs. MyBCGTrip, d’ores et déjà mise à disposition de l’ensemble des plus de 80 bureaux du cabinet, doit permettre à chaque consultant d’accéder en un clin d’œil aux différentes informations liées à son voyage d’affaires (durée, escale, horaires...). Le consultant pourra également directement enregistrer son vol via MyBCGTrip.

    L’application a été développée par la société Amadeus. Son design a été imaginé par l’équipe Global Travel du Boston Consulting Group.

  • La consultante en services financiers devenue coiffeuse
    Monde
    01/06/16

    À lire l’actualité des dernières semaines, on pourrait croire qu’Oliver Wyman fait office de pépinière d’entreprise. Après le consultant qui profite d’un arrêt maladie pour poser les bases de sa start-up, la presse anglaise fait cette fois le portrait d’une ancienne collaboratrice d’Oliver Wyman qui a mûri son projet au fil de ses déplacements professionnels.

    En 2013, Yulia Rorstrom quitte le conseil pour lancer à Londres une chaîne de salon « blow-dry » (des coiffeurs qui ne font ni coupe de cheveux ni couleur – des salons de coiffure au sens strict). Elle est pourtant loin du milieu, elle qui travaille pour des clients de la finance. Elle a eu cette idée lorsqu’elle sillonnait le monde pour le compte d’Oliver Wyman. Aux États-Unis et au Japon, elle découvre un concept alors inconnu à Londres et décide de se lancer. Grâce à son expérience de consultante, elle quitte la finance pour le business capillaire. Qui aurait parié que le futur Franck Provost sortirait de la City?

    Source : EveningStandard

  • Le conseil en stratégie chasse sur les terres des business schools
    Monde
    31/05/16

    Les business schools ont du souci à se faire. De plus en plus d’offres de formation en ligne viennent concurrencer leurs propres services. Et parmi celles-ci, certaines ont été créées par les plus grands cabinets. Au premier rang, McKinsey. Le Financial Times se penche sur ce nouveau business qui fait peur aux business school, comme en témoigne le doyen de Columbia. Glenn Hubard assure que « quand on [lui] demande où se trouvent [ses] concurrents, McKinsey Academy est sur la liste ». La plateforme du cabinet américain, lancée en 2013, est une version adaptée de edX, un software développé par le MIT et Harvard.

    McKinsey n’est pas seul à se lancer sur le segment. Korn Ferry ou PWC se sont également positionnés. Le BCG est aussi dans les starting-blocks. Il a par exemple récemment travaillé avec IMB, business school suisse, pour offrir un programme de formation au Changi Airport de Singapour.

  • Chappuis Halder accompagne le lancement d'une banque digitale en Inde
    Monde
    30/05/16

    Le bureau singapourien de Chappuis Halder & Co a accompagné DBS, institution financière singapourienne, dans le lancement d’une 'banque du futur' : Digibank. La filiale, pour l’instant active uniquement en Inde, se veut 100 % digitale et accessible par smartphone. Jusque-là, rien de bien révolutionnaire. La nouveauté, c’est que DBS, accompagné de CH&Co, utilise le machine learning à la fois dans la relation clientèle et, pour le client, dans la gestion de son propre budget. Ainsi, la banque offre un service évolutif et qualitatif tout en diminuant les coûts de structure. Ces économies, Digibank les a d’ores et déjà impactées sur les prix et les taux d’intérêt. Un modèle qui pourrait faire tache d’huile en dehors des frontières indiennes... Une belle carte de visite pour Chappuis Halder & Co.

    Source : @ChappuisHalder

  • L’association CERES (Mines ParisTech), lauréate du prix Exton Consulting
    Monde
    27/05/16

    Depuis 2011, Exton Consulting participe au financement d’un projet associatif issu d’une des grandes écoles françaises. Cette année, après une première phase de sélection, onze projets à vocation sociale, citoyenne, humanitaire ou environnementale ont été choisis par le jury Exton. Les internautes ont alors voté pour envoyer les cinq meilleurs en finale.

    À l’issue du processus de sélection, c’est le projet de l’association CERES (Mines ParisTech) qui s’est vu octroyer le premier prix, d’une valeur de 3 000 €. Cette somme servira à la construction d’un entrepôt de stockage coopératif. Les quatre autres finalistes (Ponts, X, EDHEC et HEC) ont reçu chacun 500 € pour le développement de leur projet.

  • Le BCG arrive chez Comerica en pleine crise
    Monde
    25/05/16

    La banque américaine Comerica a fait appel au BCG dans une dernière tentative pour relever son activité. Les principaux actionnaires de l’institution financière mettent la pression sur la direction pour qu’elle trouve un moyen de renouer avec la croissance. Le Boston Consulting Group a alors été choisi fin avril pour une large mission d’analyse des coûts et de détection des opportunités du marché. Moins d’une semaine après, le CFO a claqué la porte de façon inattendue. Par ailleurs, The Street révèle qu’avant de faire appel au cabinet de conseil, Comerica a sondé le marché dans l’optique d’un rachat. Face à la frilosité du marché, la direction a finalement décidé de solliciter le BCG. La mission, dans un contexte difficile et changeant, risque bien d’être très compliquée.

    Source : thestreet.com

  • Bain au chevet d’Office Depot
    Monde
    24/05/16

    Le spécialiste des fournitures de bureau Office Depot a annoncé lundi 16 mai avoir demandé à Bain & Company de l’aider à « apporter de la valeur à ses actionnaires ». La chaîne de magasins doit faire face à la baisse constante de ses ventes, mais surtout à l’échec de sa fusion avec Staples Inc. La semaine dernière, un juge américain a annulé la transaction de plus de 6 milliards de dollars à la demande de la Federal Trade Commission. Ce capotage, s’il est une mauvaise nouvelle pour Office Depot, ouvre une opportunité à Bain, qui aura la lourde tâche de faire remonter le cours de l’action, en chute libre depuis le début de l’année.

    Source : Bloomberg

  • L.E.K. se penche sur la faisabilité d’une compagnie aérienne régionale depuis l’île Maurice
    Monde
    23/05/16

    L.E.K. a rendu la semaine dernière un rapport à la direction d’Air Mauritius sur la création d’une compagnie aérienne régionale, reliant l’île Maurice aux pays africains les plus proches. Pour le moment, rien n’a fuité sur la potentielle faisabilité du projet. Mais en décembre dernier, L.E.K. Consulting avait déjà rendu une pré-étude, plutôt positive. Le rapport final, remis à la direction, devrait bientôt être examiné par le conseil d’administration d’Air Mauritius, qui a pour projet d’ouvrir la nouvelle compagnie dès 2017.

    source : Defimedia

  • Le Daily Mail s’offre les services du patron de la practice média du BCG
    Monde
    19/05/16

    Daily Mail and General Trust (DMGT), le groupe de media propriétaire des titres Daily Mail et Mail Online,  a annoncé mi-mai la nomination de Paul Zwillenberg au poste de CEO du groupe. Paul Zwillenberg était jusqu’à présent partner du BCG à Londres et leader de la practice média au niveau mondial. Avant de rejoindre le cabinet américain, il avait travaillé pour OC&C de 2002 à 2010, quittant le cabinet avec le statut de partner.

    Paul Zwillenberg est un spécialiste mondialement reconnu des médias et surtout un habitué de la maison DMGT. Comme le relève le Financial Times, il conseille depuis de nombreuses années le groupe sur sa transformation. Par ailleurs, il a même été, au milieu des années quatre-vingt-dix, employé de DMGT. Enfin, et peut-être même surtout, Paul Zwillenberg est un intime des actionnaires de la société. Il est un ami de très longue date Jonathan Harmsworth, l’un des membres de la famille propriétaire, depuis qu’ils ont suivi leurs études à Duke University.

  • Le « ministry of McKinsey » à l’œuvre en Arabie Saoudite
    Monde
    18/05/16

    L’annonce, en janvier dernier, de la privatisation des sociétés pétrolières d’Arabie Saoudite a révélé l’influence grandissante de McKinsey dans le pays. Jacobin Mag en a tiré un long article sur les dessous de la prise de pouvoir du cabinet dans le Golfe, prise de pouvoir qui s’est faite en une dizaine d’années seulement.

    Pour asseoir sa position dans la région, d’après Jacobin Mag, McKinsey a d’abord utilisé l’arme des rapports sur l’économie de chaque pays, les « economic visions ». Peu à peu, les consultants ont alors obtenu l’attention des décideurs, jusqu’à court-circuiter les administrations. À tel point qu’au moment de l’annonce des privatisations des entreprises pétrolières d’Arabie Saoudite, peu de technocrates étaient au courant d’une décision qui aurait été prise sur les conseils du cabinet américain. À tel point aussi que les couloirs des ministères référeraient désormais, sans une touche de sarcasme, au « ministry of McKinsey ».

  • Braineet, la start-up née sur les bancs d’Oliver Wyman
    Monde
    16/05/16

     

    C’est l’histoire d’un consultant qui se rompt les ligaments croisés. Jonathan Livescault (Essec 09 + MBA Duke), alors manager chez Oliver Wyman au bureau de Paris, est immobilisé pendant six semaines. Il a tout le loisir de penser à l’entreprise qu’il veut créer. En 2014, il s’associe avec un ami, qui travaille chez BearingPoint, pour lancer Braineet. La société propose une plateforme de mise en relation des marques et de leurs consommateurs, qui peuvent directement leur suggérer des idées. Depuis, une trentaine de groupes lui ont fait confiance, tels qu’Unilever, Auchan ou EDF. Le jeune homme, en bon entrepreneur formé à l’école du conseil en stratégie, en est déjà à l’étape suivante. Il cherche actuellement à lever 700 000 euros pour accélérer le développement et s’installer aux États-Unis.

    Source  : Challenge

     

     

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