Classement étudiants Consultor 2024 : McKinsey moins attractif que le BCG et Bain
Cette année, les élèves des grandes écoles bousculent l’ordre établi ! Bain retrouve ainsi le trio de tête en notoriété et Oliver Wyman gagne 3 places - quand Bain, encore, chipe la 2e place à la Firme et talonne le BCG pour l'attractivité.
- Classements des cabinets Consultor 2024 : le match Polytechnique – HEC
- Qu’attendent les étudiants des cabinets de conseil en 2024 ?
- TOP 15 Consultor 2024 dédié aux services financiers : les pros du secteur ont tranché
- Classement Consultor 2023 de la notoriété des cabinets de conseil en stratégie
- Classement Consultor 2023 de l’attractivité des cabinets de conseil en stratégie
- Classement Consultor des cabinets de conseil en stratégie juillet 2022
- Top employeurs : l’équilibre vie pro-vie perso fait reculer les cabinets de conseil
- 4 % d’anciens consultants dans les comex du CAC 40
Réalisée auprès de 634 élèves en dernière année du Programme Grande École de 7 établissements de référence – HEC, ESSEC, ESCP, X, Mines, Ponts, CentraleSupélec -, cette 13e enquête dédiée de Consultor s’est déroulée alors que le secteur du conseil en stratégie a connu un ralentissement après l’euphorie post-Covid.
Et le moins que l’on puisse dire, c’est que ça bouge – pour les « grands noms » notamment et en haut du classement – en matière de notoriété ! Quant au Top 10 réalisé pour l’attractivité, bien qu’assez stable, il comporte donc une évolution majeure de son trio de tête. Les étudiants devaient répondre à la question : « Accepteriez-vous une offre d’emploi de ce cabinet ? »
Une partie de chamboule-tout – ou presque - sur la notoriété
Le trio de tête est désormais le suivant : McKinsey 1er, BCG 2e, Bain 3e. Le cabinet était 5e en 2023 et 4e de 2020 à 2022. Une centaine de points le séparent toutefois du BCG, lequel pointe lui-même à près de 80 points de McKinsey [méthodologie à consulter à la fin de l’article].
Autre belle progression aux avant-postes en 2024, celle d’Oliver Wyman, qui gagne 3 places : les étudiants le classent 4e cette année. Pour Hugues Havrin, partner en charge du recrutement du cabinet, cela concrétise les efforts d’OW qui a organisé ou participé « à une cinquantaine d’événements sur les campus en 2023, en hausse significative ». Il peut s’agir de présence à des forums ou d’animation de cours – à HEC en l’occurrence, depuis plusieurs années. Le cabinet a par ailleurs « renforcé » son événement de prestige Start Here destiné aux ingénieurs, organisé à Amsterdam en 2023. Simulant la vie d’un consultant durant un week-end – avec une étude de cas au programme -, la dernière édition a suscité 200 candidatures.
Qui dit gain de place de certains cabinets, dit perte pour d’autres. C’est le cas d’EY-Parthenon, lequel avait intégré le trio de tête ou flirtait avec celui-ci depuis plusieurs années : 3e de 2020 à 2022 et 4e en 2023. Cette année, les élèves de grandes écoles le classent 5e.
La véritable perte de vitesse concerne une autre des entités Stratégie des Big Four : GSG (KPMG). Positionné dans le trio de tête en 2023, le cabinet perd 7 places et rétrograde en 10e position à plus de 250 points de l’actuel 3e Bain. Depuis 2020, GSG avait occupé la 7e ou 8e place, réalisant une progression très significative en 2023 en obtenant la 3e place.
Toujours dans les 10 premiers du classement, 3 cabinets français progressent ou conservent leur position de choix : l’entité de conseil interne de BNP Paribas, CIBC&T, gagne ainsi une place, en 7e position (derrière Roland Berger qui conserve sa 6e place), Advancy en gagne 2 et occupe la 8e place, quand l’activité de conseil en stratégie d’Accuracy conserve sa 9e place. Margaux de Saint-Exupéry, partner du cabinet depuis janvier 2024, s’en félicite et fait le lien « avec les actions de soutien mises en place dans les écoles cibles du cabinet – auprès de l’association de foot féminin à HEC par exemple ou celle de Cheerleaders à Centrale. Certains associés donnent également des cours, axés finance et économie, dans les écoles ».
D’autres progressions sont notables : Eleven passe ainsi de la 15e à la 11e place, et Avencore de la 18e à la 15e place. De son côté, Kéa reste quasi stable (12e cette année, 11e l’an dernier) : Olivier Mouton, partner groupe de Kéa et l’un des 4 DG du cabinet en charge du talent development, y voit la confirmation du positionnement « distinctif du cabinet, de plus en plus connu sur les campus – qui combine l’exigence de la stratégie et l’expertise de la transformation, mais aussi l’impact et la responsabilité ».
à lire aussi
Seules les plus grosses marques se font une place pérenne sur l’ensemble des campus quand les plus petits cabinets doivent se montrer sélectifs, ingénieux et doivent faire valoir des arguments précis. Par ailleurs, le halo de marque de grands groupes joue à plein et crée des surprises vis-à-vis des historiques de la strat’.
Une connaissance plus limitée des cabinets dans leur ensemble
En 2024 en effet, le nombre moyen de cabinets connus des élèves de grandes écoles a diminué, passant de 11,3 l’an dernier à 9,4.
La baisse des recrutements des cabinets de conseil en raison du resserrement du marché pourrait l’expliquer. Pour Kéa, Olivier Mouton confirme « que les entreprises connues sur les campus sont celles qui recrutent ». Un avis partagé par le président fondateur d’Avencore, Fabrice Vigier, lequel évoque aussi « le “ralentissement” mis par certains cabinets sur les partenariats avec les écoles ».
Au-delà, l’accueil de stagiaires-césures – ces stagiaires qui mettent en pause leurs études durant un semestre ou une année tout en conservant le statut d’étudiants – joue aussi un rôle majeur dans la connaissance des structures de conseil – comme le partage Anne Baudrier, la DRH d’Avencore. « Ces stagiaires retournent ensuite dans leur école et ils communiquent beaucoup auprès des autres élèves, d’où l’attention particulière que nous y prêtons ». Un coup de frein à cet égard pourrait avoir eu un impact.
Bain double McKinsey sur l'attractivité
C’est en effet LA surprise de cette édition 2024 : Bain est classé 2e par les étudiants, devant McKinsey qui occupait cette place depuis 2015 - à l’exception de 2016 et 2017 où il était 1er. Si tout se joue dans un mouchoir de poche dans ce trio (BCG 81 %, Bain 79 %, McKinsey 77 %), la 2e position de Bain n’en reste pas moins marquante avec un score en hausse de 10 points par rapport à 2023.
Le BCG, leader quasi incontesté de l’attractivité, gagne pour sa part 7 points. La Firme, bien que doublée par Bain, en gagne également : 77 % des étudiants sont prêts à accepter une offre d’emploi émanant d’elle en 2024 – contre 71 % l’an dernier. Sa perte d’attractivité reste donc relative.
Dans la suite du Top 10 2024, les outsiders de l’attractivité conservent leurs positions : Roland Berger est 4e (71 %, +11 points) talonné par Oliver Wyman, 5e (69 %, +9 points). EY-Parthenon leur emboîte le pas à la 6e place (55 %, +3 points), suivi par BNP Paribas CIBC&T 7e (53 %, +5 points).
Le changement vient à la 8e place, occupée par GSG (KPMG) qui gagne 2 places et 9 points à 52 % - un mouvement contraire à celui du cabinet sur la notoriété. Le 8e de 2023, Simon-Kucher, en fait les frais et perd 2 places : il clôt ce Top 10.
Quant à l’activité stratégie d’Accuracy, les étudiants lui accordent une nouvelle fois une stabilité parfaite en le plaçant en 9e position comme en 2023, avec un score de 51 %, en hausse de 8 points.
Au-delà des positions, certains critères de choix des étudiants quant à une orientation vers le conseil en stratégie étonnent les partners interrogés. Ainsi, le fait de « continuer à apprendre rapidement » est la proposition qui recueille le moins de suffrages dans l’étude 2024 de Consultor. Celle qui en recueille le plus est « le prestige », suivi de « la possibilité de ne pas se spécialiser tout de suite » et de « la valorisation du CV ». Or, pour Frédéric Fessart, associé d’EY-Parthenon membre de la practice mondiale Grande consommation et Distribution, et Stephan Bindner, partner et strategy leader pour la France, cela ne recoupe pas les retours des candidats ou nouvelles recrues - qui confient « voir le conseil en strat comme un super MBA ».
> Voir le classement Consultor 2023 de l’attractivité
Un gap de notoriété pour certains cabinets selon la typologie d’écoles
Si une partie d’entre eux s’attendaient à un écart entre écoles d’ingénieurs et business schools – c’est le cas d’Avencore dont les recrutements à date portent uniquement sur des profils d’ingés -, d’autres sont surpris. Un exemple avec Kéa, classé 11e auprès des élèves « commerce » (+2 places) et 13e auprès des futurs ingénieurs (-2). Olivier Mouton déclare « ne pas spécialement retrouver ces tendances. Kéa recrute chacun de ces profils. Et nous n’avons jamais eu autant de recrutements CDI ou stagiaires issus de CentraleSupélec que cette année ».
Même réaction chez Margaux de Saint-Exupéry pour l’activité stratégie d’Accuracy, classée 8e par les élèves « commerce » (comme en 2023) et 11e chez les futurs ingénieurs (-2 places). Or, selon la partner, « la proportion de nouvelles recrues issues d’écoles d’ingénieurs cette année a été supérieure à celle des années précédentes, avec de nombreux Centraliens ». Nicolas Darbo, en charge de la practice FSI, souligne toutefois qu’historiquement, « le cabinet a recruté davantage d’élèves issus d’écoles de commerce que de profils d’ingénieurs ». Jean-François Partiot, autre partner de l’activité de conseil en stratégie d’Accuracy, indique pour sa part que le cabinet, « via son ciblage de sujets économiques, stratégiques, financiers, revues de marché, statistiques, data, ne s’adresse pas à tous les souhaits de carrière des ingénieurs. » Ceci peut expliquer cela.
Du côté d’Advancy, pas d’étonnement en revanche quant à une 6e place « ingé » - et une 9e place « commerce ». Le cabinet a en effet « beaucoup investi dans les écoles d’ingénieurs, notamment en dispensant des cours par des associés à CentraleSupélec et aux Mines, entre autres » - partage Annabelle Dazy, HR manager. « Nous convions également des étudiants dans nos locaux pour qu’ils puissent découvrir le cadre de travail d’un consultant et les préparer aux études de cas ». Isabelle Christoux Paul, senior executive assistante du cabinet en charge de la communication, ajoute que cela leur donne « l’opportunité d’échanger de façon informelle avec leurs – futurs – pairs ».
Point de surprise non plus chez Avencore, le cabinet étant classé 10e par les futurs ingénieurs soit une progression de 2 places – et 21e par les élèves d’écoles de commerce (+10 places). « Le cabinet étant en forte croissance, nous recrutons davantage et cela crée un cercle vertueux, indique Anne Baudrier. Nous avons aussi intensifié notre communication sur les réseaux sociaux, au-delà des 4 ou 5 événements et des cours que nous donnons dans les écoles. » L’effort accru visant les réseaux sociaux est d’ailleurs mentionné par l’ensemble des partners interrogés par Consultor.
Pour EY-Parthenon, Stephan Bindner éclaire quant à lui l’écart de 3 places de son cabinet - 4e en écoles de commerce (-1 place), 7e chez les ingénieurs (-3 places) – par « une moindre animation de cours à l’X notamment, le cabinet y étant par ailleurs moins présent que sur d’autres campus ». Historiquement bien ancré à CentraleSupélec, l’associé reconnaît qu’il est « difficile de couvrir aussi bien toutes les écoles ». En parallèle, le cabinet ne compte « qu’un seul partner, “ancien” de l’X ».
Car les alumni des grandes écoles peuvent être de puissants ambassadeurs auprès des étudiants. Partners ou consultants, tous maintiennent des liens forts avec leurs écoles d’origine – réalisant parfois du mentorat.
Moins de certitudes sur un parcours dans le conseil, mais beaucoup de candidatures
C’est un autre résultat saillant de l’enquête 2024 : 17 % seulement des élèves de grandes écoles souhaitent s’orienter vers le conseil en stratégie de façon certaine, quand ils étaient 25 % l’an dernier. En ajoutant ceux qui pourraient « envisager » d’y travailler, on obtient un total de 69 % - contre 73 % en 2023.
Pour les partners interrogés par Consultor, on peut y voir un effet du ralentissement du marché du conseil observé en 2023 et début 2024 – déjà mentionné. De son côté, Hugues Havrin (Oliver Wyman) se demande si les jeunes diplômés n’ont pas besoin de « davantage tester que leurs aînés pour se faire une opinion ». Ce n’est donc qu’après avoir « expérimenté » qu’ils se positionneraient plus fermement.
Malgré cette baisse, Frédéric Fessart d’EY-Parthenon voit dans ces pourcentages un niveau d’intérêt très satisfaisant, témoignant « d’une promesse employeur tenue par le secteur – de développement personnel et de carrières épanouissantes, avec des challenges et la rencontre de professionnels de haut niveau chez les clients ou dans les équipes ».
D’ailleurs, tous les partners observent une hausse des candidatures. Chez Oliver Wyman, l’augmentation serait de l’ordre de 30 % sur une saison de recrutement – selon Hugues Havrin. Pour l’expliquer, le partner émet une hypothèse : « La baisse des recrutements dans le secteur de la tech et des start-ups a probablement entraîné un report vers le conseil. » Pour Kéa, Oliver Mouton évoque également « une dynamique à la hausse » dans les candidatures reçues par le cabinet.
Conscients du resserrement du marché du conseil, les élèves de grandes écoles s’y projetteraient donc de façon moins assurée, sans pour autant renoncer à y postuler.
--------------------------------------------------------------------
Méthodologie et échantillon
Enquête réalisée par HEC Junior Conseil pour Consultor auprès de 634 élèves de grandes écoles de commerce ou d’ingénieurs : HEC (20 %), ESSEC (18 %), ESCP (17 %), X (12 %), Mines (5 %), Ponts (6 %), CentraleSupélec (22 %). Total commerce : 54 % ; total ingénieurs : 46 %.
L’échantillon est constitué à 66 % d’hommes et à 34 % de femmes, toutes et tous élèves en dernière année du Programme Grande École.
Pour réaliser les deux classements, les pondérations suivantes ont été utilisées :
Classement NOTORIÉTÉ
Question : "Connaissez-vous ce cabinet ?"
→ Classement : en fonction du % de chaque réponse.
Score
Je ne connais pas ce cabinet : 0
Il me semble en avoir entendu parler mais je ne le connais pas vraiment : 1
Je connais ce cabinet : 1,5
J'ai déjà eu affaire à ce cabinet (candidature, stage, CDI) : 1,6
Classement ATTRACTIVITÉ
Questions : "Accepteriez-vous une offre d’emploi de ce cabinet ?"
→ Classement : en fonction du % de réponses "Oui".
Score
Oui : 1
Non : 0
Modalités
Un étudiant se prononce sur l'attractivité d'un cabinet lorsqu’il a déclaré le connaître ou avoir déjà eu affaire à lui.
Seuil statistique : les cabinets connus par moins de 10% de notre échantillon ne sont pas classés.
---
Avertissement
Les cabinets de conseil qui figurent dans le classement sont ceux présents dans notre guide des cabinets de conseil en stratégie à la date du lancement du classement. La sélection est gérée par notre rédaction de façon dynamique – entrées et sorties – selon des critères établis, dont les principaux sont : l’activité réelle de conseil de direction générale du cabinet, sa dynamique, son éventuel partenariat avec consultor.fr, sa taille en France et son ancienneté.
Ce classement exclusif a été pensé et élaboré par Consultor. Toute reproduction même partielle du contenu de cette étude est interdite ainsi que toute utilisation commerciale sans l’autorisation préalable de Consultor.
Consultor est propriétaire des droits selon la loi n°57-298 du 11 mars 1957 sur la propriété commerciale, industrielle, littéraire et artistique (Journal officiel du 14 mars 1957 et rectificatif du Journal officiel du 19 avril 1957).
Mention obligatoire après autorisation : « Source Consultor.fr ».
---
Retrouvez l’ensemble des classements Consultor antérieurs :
-2020
-2019
-2018
-2017
-2016
-2015
-2014
-2013
-2012
Un tuyau intéressant à partager ?
Vous avez une information dont le monde devrait entendre parler ? Une rumeur de fusion en cours ? Nous voulons savoir !
commentaires (6)
citer
signaler
citer
signaler
citer
signaler
citer
signaler
citer
signaler
citer
signaler
Classement
- 31/10/24
Baisse du taux global d’anciens consultants en stratégie au sein des comex, proportion légèrement accrue parmi les nouveaux venus et vive progression du nombre de femmes : tels sont les résultats de la 7e étude dédiée de Consultor.
- 24/09/24
HEC et l’École Polytechnique, leurs élèves courtisés par les « meilleurs employeurs » dès leur arrivée sur le marché du travail. Ont-ils une appétence similaire pour le conseil en stratégie en sortie d’école ? Priorisent-ils les mêmes cabinets et déjouent-ils certains pronostics quant à leurs attentes ?
- 13/05/24
Quel est le premier cabinet en matière d’image pour les professionnels des services financiers en 2024 ? Réponse : le BCG. Bain s'octroie la 2e place devant McKinsey, talonné par Roland Berger et Oliver Wyman.
- 03/05/24
Aux yeux des étudiants en écoles de commerce, l’écart se resserre entre McKinsey, qui faiblit légèrement, et le BCG qui progresse : les deux cabinets se classent respectivement 12e et 17e du top 100 établi par Universum. Quant à Bain, après avoir connu une nette progression durant plusieurs années, il perd une place, en 41e position.
- 29/03/24
Pour cette douzième édition, ce sont 17 alumnis du conseil en stratégie qui font partie du classement 2024 des 100 leaders de moins de 40 ans de l’institut Choiseul.
- 22/03/24
Depuis 2019, toutes les entreprises de plus de 250 salariés et, depuis 2020, toutes celles de plus de 50 salariés doivent calculer et publier leur Index de l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes, chaque année au 1er mars. Si la note moyenne nationale des entreprises françaises plafonne, les cabinets de conseil en stratégie — historiquement très masculins — progressent pour la 3e année d’affilée. Ils n’en restent pas moins mauvais quant à la parité parmi les plus hautes rémunérations. Analyse des index 2024 et réactions de plusieurs des cabinets concernés.
- 28/02/24
100 mouvements de partners de novembre 2022 à février 2024, avec un solde de 8 associés supplémentaires pour les 11 cabinets observés. La 3e édition de l’étude menée par Consultor confirme la tendance au ralentissement – relatif – du marché, bien que certains cabinets connaissent une nette croissance de leur partnership.
- 19/02/24
Pour la deuxième année consécutive, le cabinet de conseil en stratégie Singulier fait partie des 500 entreprises dont la croissance est la plus rapide. Le classement « Champions de la croissance 2024 » est établi par Statista pour les Échos.
- 07/02/24
Depuis plusieurs années maintenant, c’est le statu quo. Le taux de féminisation des partnerships des cabinets de conseil en stratégie ne décolle pas, 17 % en 2023 d’après l’étude annuelle de Consultor, et ce, depuis plusieurs années. Une fatalité ? Peut-être pas. Simon-Kucher ouvre la voie en tutoyant le Graal du 50/50.